Arrivée fracassante ... [COMPLET}

Vous êtes vous déjà sentit dans le brouillard total. Un instant de terreur quand on croit qu'il y a une autre marche au bout de l'escalier alors qu'un sensation d'écroulement se fait ressentir dans tout votre corps ?! C'est ce qu'Elena vennait juste de ressentir quand elle ouvrit les yeux. Et le plus terrible restait à venir. Une lumière vînt lui éblouir ses petits yeux fermés, se qui les obligèrent à s'ouvrir. Face au plafond, allongés sur le sol, plusieurs personnes ouvrirent les yeux en même temps. Et leurs réactions ne se fit pas attendre, comme celle d'Elena qui s'empressa de se lever et de regarder l'endroit où elle se trouvait.

Merde... C'est pas ma chambre !!

Et non, ou alors, elle avait bien changé. Un mal de tête se sit ressentir dans le crane blond de la jeune fille qui commençait la panique à bord. D'autres personnes étaient dans le même états qu'elle, complétement amnésique et complétement paumé dans l'entrée d'une deumeure pourrite en déco. Se tennant la tête, les yeux fixée sur une male, elle s'en approcha. Et tout en regardant les moindres détails de la pièce elle se mit à demander aux personnes présentes avec elles :

Mais c'est quoi cette baraque de folle ?!

[HS :: j'ai bloqué le sujet à 6 personnes ; sinon ça va faire n'importe quoi avec trop de monde ^^ une fois que les 6 personnes seront là, on gardera l'ordre de réponse établie. Genre Elena ; Elizabeth ; une personne ; l'autre personne etc. pour pas que le sujet avance sans une ou deux personnes ^^]

Cette sensation de voler, de s'évader Elizabeth l'avait déjà ressentie lorsqu'elle s'était pour la première fois droguée doucement, il y a de ça une dizaine d'années. Mais cette fois, en reprenant ses esprits, elle était pourtant sûre de n'y avoir pas touché, à la drogue. Une lumière pâlotte et jaunâtre lui parvint aux yeux, lorsqu'elle les ouvrit.

Non, elle ne connaissait pas cette lumière. Cette odeur poussiéreuse non plus. Etait-elle dans un endroit de son entreprise de mode qu'elle ne connaissait pas encore ? Ou bien dans la cave de son immeuble, étant descendue chercher quelconque vieil objet ? Non, même pas. Elle ne connaissait pas ce carrelage délâbré qu'elle sentait sous son jean. Ni d'ailleurs l'escalier en bois noirci qu'elle découvrit lorsqu'elle leva la tête.

Autour d'elle, plusieurs personnes étaient étendues grossièrement. L'une d'elle avait les yeux ouvert, et avait l'air en état de choc. Le pire : c'est qu'Elizabeth ne la connaissait pas. D'ailleurs, elle ne connaissait aucune des autres personnes allongées & encore les yeux fermés. Une blonde était debout, près de l'escalier. Elle regardait une malle et avait la bouche légèrement ouverte, comme si elle venait de dire quelque chose.

Elizabeth se releva doucement, et se retrouva en position assise. Elle put alors mieux examiner les environs. Le lustre au-dessus d'elle était couvert de poussière, voilà pourquoi la lumière était vieillie. Il faisait un peu froid ; et d'ailleurs il avait l'air de faire nuit. Mais où était-elle ? Et si ses parents, pour se venger, l'avaient inscrite à une sorte de jeu télévisé ? Non, c'était complètement idiot. Les murs de la pièce -qui était très grande- étaient tapissés d'une tapisserie baroque plutôt démodée, déchirée par endroits et noircie à d'autres. Des toiles d'araignées pendaient un peu partout, c'était plutôt lugubre comme endroit.

Elle mourrait d'envie de hurler pour voir si elle se réveillerait d'un quelconque cauchemar, mais se tut et croisa les bras pour se protéger un tant soi peu du courant d'air qui la faisait frissonner, en attendant que d'autres personnes se relèvent. Dans ces moments-là, il valait mieux la fermer, même si ce n'était probablement qu'un cauchemar, comme Elizabeth s'évertuait à se le répéter pour ne pas céder à la panique qui lui tenaillait l'estomac.

Une sensation envahit Sasha. Une sensation qu’elle n’avait jamais ressentie avant, une impression de voler, sans savoir ce que vous faites, comme un gros trou de mémoire après une forte chute … Une voix de femme, ainsi qu’un souffle frais réveilla Sasha qui ouvrit les yeux, Sasha étant aveugle ne vit rien. Elle chercha de ses mains sa canne qui l’aidé à se déplacé, mais la seule chose qu’elle sentait s’était une matière qui râpe et accroche. Sasha eu un moment de panique, mais où se trouvait-elle ? Elle ne reconnaissait rien ni la matière sur quoi elle était allongée, ni l’odeur de poussière, humidité et moisie qui régnaient dans cet endroit. Elle sentit tout de même quelque chose qui lui était familier : la présence humaine…

Après ce court instant de panique Sasha décida alors « d’explorer » cet endroit, afin de le connaître un peu mieux. Elle se leva, puis tomba non loin d’un mur, qu’elle toucha. Ce mur avait l’air d’être recouvert, de la tapisserie peut-être, mais de nombreux défauts ce faisait sentir au touché. Sasha posa une main sur le mur puis positionna son autre main devant elle, de telle sorte qu’elle ne heurte rien ou personne. Elle se laissa donc guider par ce mur ; la pièce était apparemment grande et quelque chose ce concentré au centre de cette pièce… Elle arriva à la fin du mur, devant une matière qui ressembler à celle de par terre, puis reconnût la forme d’une rampe, un escalier… Etait-elle dans son immeuble ? A un étage où elle n’avait jamais mit les pieds ? Peu probable, et pourtant cette idée la rassura. Elle continua sa route et heurta quelque chose qui ressembler plutôt à quelqu’un… Sasha ne manqua pas de s’excuse auprès de cette personne qu’elle venait d’heurter.

« Pardon, je suis désolé … »

J'avais l'impression d'être partie , dans un autre monde. Le sol était froid quasiment gacé. Je me réveilla en sursaut complètement perdue. Je regarda autour de moi. * Mais ce n'est pas chez moi ici?! On sont les jumeaux et mes petites soeurs??? OH mon dieu j'espère qu'il vont bien. * C'était une grande pièce , sa s'emblait vieux et abbimé. Puis je remarqua d'autres personnes qui était là. Je ne les connais pas. Peut-être que c'est un nouveau boulot mes parents m'ont font faire tout. Non sa ne pas être sa , sinon Anna serait là aussi. Je me levai avec difficulté, vidée de toute énergie. Je marchaas un peu dans la grande pièce , mais qu'est-ce qui ce passait. Je ne connaissais pas cet endroit. J'étais où? Une seule question m'était en tête. * Qu'est-ce qui c'est passé ? * Je marchais encore et encore sans faire attention aux autres qui me regardaient. J'étais confuse c'est le cas de le dire. J'ai beau été allé à peu près partout je n'ai jamais vu cette maison ou plutôt ce manoir , sa m'a l'air immense cette baraque. Je commençais à tourner en rond , complètement dans mes pensées. Je commence à avoir peur. Je n'aime pas du tout ce qui ce passe ici. J'aimerais juste me réveillé et dire que ce n'était qu'un cauchemar. Mais la vérité c'est que sa semble de plus en plus réel. Je n'ai jamais conté sur personnes mi à part moi même et s'il faut que je commence à sympathisert avec elles, je ne sais pas je ferai quoi, je n'y suis plus habituée à tous sa. Je continuais à tourner en rond qund quelqu'un me fonça dedans. Je leva les yeux pour apercevoir une jeune fille brune , elle semblait aussi perdue que moi. Mais en ce moment je n'avais pas la tête à l'envoyer balader , j'avais plutôt envi de m'écrouler sur le sol et de pleurer.

« T'inquiètes pas , ce n'est pas bien bien grave. »

Dis-je d'une petite voix. Après quelques instants je retourna vers les escaliers puis je m'assit sur la première marche qui ne semblait pas solide mais quesque sa peut bien faire. Je mis ma tête sur mes genoux et cette fois j'avais craquée , de petites larmes coulaient sur mes joues , j'essayais de ne pas le montrer. Je le les essuya à toute vitesse et respira un bon coup. Tout ce que je veux c'est que les jumeaux et mes petites soeurs sont hors de danger. Je regardait le plafond ne disant plus un mot.

Une sensation bizard envahissait Andrew. Un sentiment de planitude, de voler était en lui, mais aussi une vive douleure. Tout doucement il commença à revenir dans le monde des concients et sut tout de suite qu'il n'était pas chez lui. Déjà, cette odeure de renfermée, de mal propretée envahissait la pièce ou il était. Car oui, il était dans une pièce et non dehors. Il le savait car il sentait du carrelage froid sous son jean ainsi que ses mains posées négligament par terre. Andrew ne se souvenait pas s'être endormit par terre ou évanoui quelque part ! Non ! Le dernier lieu ou il était, c'était dans une ruelle, revenant du chinoit ou il avait acheté de quoi mangé pour le soir même. En parlant de ça, une petite douleure se faisait ressentire au niveau de son ventre, montrant qu'il avait faim. Mais malgrès cette douleure, une autre persistée, ce qui l'empéché d'ailleurs de bien réfléchir. Une douleure vive derrière sa tête, un peu plus et c'était sa nuque, donc le coup fatal, mais non, il sentait qu'il pouvait bouger. Doucement il ouvrit ses yeux, un par un et tomba sur la vue d'un plafond miteux ou quelques taches de moissisures avec des toiles d'araignées tronaient. " Je suis dans une maison hantée ou quoi ? " C'était ça, sa première pensée.

Tout aussi doucement qu'il avait fait pour ouvrir ses yeux, il se redressa pour se mettre en position assise. Il avait remarqué plusieurs réspiration et avait en déduit qu'il n'était pas seul dans cette pièce, et ce qu'il vit confirma ses hypothèses. Plusieurs personnes qui semblaient tout aussi perdus que lui était dans cette pièce. Certains encore allongés et inconscients, d'autres qui se réveillaient à peine, et d'autres encore qui étaient déjà levés. Andrew se concentra, pourquoi était il là ? Une mauvaise blague de sa soeur ou encore de ses parents ? Non pas leurs genres... Ils étaient plutôt entrain de racontés des blagues à d'autres gens comme eux, et encore .. elles ne devaient pas être marrantes. Andrew se leva et alla se callé contre un mur, au passage il avait remarqué un escalier tout aussi lugubre et en piteuse état que les murs qui les entourés. Les tapisseries étaient moches, mal misent, tout était moche enfait.

Finalement, Andrew releva la tête et demanda aux autres :

Est-ce que quelqu'un sait ce qu'on fiche ici ?

Pour la première fois de sa vie, Sean se sentait léger. Oté de toutes peurs et de tout soucis ne sachant plus que rester là et profiter de cette sensation de bien être. Il avait l'impression de voler. Pendant plusieurs heures cette sensation si agréable continuait son chemin lorsque brutalement Sean se sentit redescendre, comme s'il tombait d'un building de 150 étages. La chute était interminable * Nooon nooon *

" NOOON "

Sean venait de se reveiller brusquement et avait malencontreusement crié ce non de toutes ces forces. Après plusieurs minutes il reprit ses ésprits et vit que plusieurs personnes qu'il ne connaissait pas le regardait d'un air ébahit. Qui étaient ils ? Que faisaient ils là ? Où était il ? Il ne reconnaissait rien et semblait plus perdu que jamais. Il se leva pour observer les environs en quête de réponse. Mais ce fut en vain. Tout ce que laissait apparaitre cette salle c'était des tapisseries d'un gout très vieillots et toute abimé laissant entre aoercevoir d'énormes brulures à certains endroits et d'énormes toiles d'arraignés. D'ailleur s'il y avait des toiles, il y avait surement des araignées pas très loin. Apparement il n'était pas le seul à chercher des réponses. Il y avait dans la pièces cinq autres personnes dont un garçon. Il s'approcha de lui.

" Où est ce qu'on est là ? "

Andrew était toujours debout pensif. Il se poser encore beaucoup de questions auquelles il n'avait pas de réponses. En ayant marre il décida de penser à autre chose et justement un jeune homme se réveilla. Oui il se réveilla comme tout le monde sauf qu'il cria, peut être avait-il ressentit un cauchemard ou autre ? Andrew n'en savait rien et le regarda se lever. Pour lui aussi s'était nouveau aparement, pour tout le monde en fait ! Le jeune homme en question s'avança vers lui.

" Où est ce qu'on est là ? "

Tel est la question ! Andrew n'en savait strictement rien, et s'était d'ailleurs une de ses nombreuses questions auquelles il pensait. Tout en haussant les épaules il lui répondit en croisant les bras :

J'en sait rien du tout.

Il le regarda et fronça les sourcils, signe qu'il réfléchissait :

Aparement tous nous avons étaient mit ici... mais après, je sais pas pourquoi .